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Tourisme

Située dans un écrin de verdure, au cœur de la forêt ​de Chantilly, à 8 km au sud de cette ville dans la partie méridionale du département de l'Oise, Coye-la-Forêt vous accueille pour de belles balades, à pied, à vélo, à cheval...

Coye-la-Forêt - Vue du ciel

Vue du ciel de Coye-la-Forêt

Situation géographique

La proximité de Paris, distante de 44 km, et l’extension de la Région Île-de-France, notamment à partir de Roissy, sont deux facteurs qui ont profondément modifié le paysage et la sociologie de Coye-la-Forêt depuis une trentaine d’années.
Recherchée pour son cadre de verdure exceptionnel, la beauté de son site et les commodités de transport qui permettent de rejoindre très rapidement la capitale, cette petite ville a su accueillir de nombreuses familles désireuses de vivre dans un environnement très privilégié et a su les intégrer dans une vie associative dynamique.

Comment se rendre à Coye-la-Forêt ?

Coye-la-Forêt se situe au sud du département de l’Oise, approximativement à 40 km au nord de Paris, sur la route départementale RD 118 qui relie La Chapelle-en-Serval à Lamorlaye entre la RD 1017 et la RD 1016.

Coordonnées géographiques
49° 08′ 34″ Nord  –  2° 28′ 27″ Est

Plan de Coye-la-Forêt en couleur

Séjourner & Se restaurer à Coye-la-Forêt

Patrimoine

Cette petite agglomération de plus de 4000 habitants (les Coyens) présente aujourd’hui encore bien des aspects liés à ses origines rurales.

Le centre du bourg se compose de rues anciennes bordées de maisons de pays à l’architecture caractéristique de la région picarde.

Coye-la-Forêt - Patrimoine et promenades
Une situation géographique qui se prête à la balade.

Que voir à Coye-la-Forêt ?

L’église Notre-Dame de Jeunesse​

Son origine remonte au XIIe siècle. Elle fut reconstruite en 1875 en style gothique sur les plans de l’abbaye de Royaumont. Seul le bas du clocher est du XVIe siècle. L’étage supérieur et le clocher sont de 1875.

Un coq rénové en haut du clocher de l’église…
En 2002, promené dans les rues du village, béni par le curé de la paroisse, le coq a pu à nouveau « chanter dès le lever du jour ».

Autour de l’eau

Coye-la-Forêt - le pont de Thève

À proximité de la place de la mairie et de l'église se trouve un petit pont de pierre construit au milieu du XIXe siècle pour franchir la Thève, rivière aux eaux claires qui arrive des Étangs de Commelles situés à un kilomètre environ en amont du village.

Le pont de Thève

Entrons dans Coye en longeant la Thève par la rue de Luzarches. Nous arrivons au lieu dit Pont de la rivière du bas ou pont de la Thève.
Endroit charmant, qui résonne encore des hennissements des chevaux venant boire à l’abreuvoir, du bruit de leurs sabots sur les pavés et du martèlement des battoirs des laveuses.

Trois lavoirs existaient autrefois à cet endroit, l’un couvert sur la rive droite (toujours existant), les deux autres en plein air sur les rives droite et gauche, à l’aplomb d’un vieux mur possédant une ouverture semi-circulaire sur la Thève d’où s’écoule l’eau de la rivière après être passée, suivant les époques, dans les aubes d’une roue hydraulique ou plus récemment dans celles d’une petite turbine installée dans le domaine du château de Coye.

Le lavoir

Le vieux lavoir situé à proximité de la place de la mairie et de l’église a été récemment rénové.

Coye-la-Forêt - Château du moulin des Bois

Le château du moulin des Bois, situé à l’entrée de la commune, sur la RD 118 venant de Lamorlaye.

Le château du moulin des Bois

C’est vers la fin du XIXe siècle que le vieux moulin à eau fut remplacé par la gentilhommière de grand style que l’on peut voir encore aujourd’hui. Les propriétaires utilisèrent la chute d’eau comme force motrice pour actionner une dynamo produisant de l’électricité, non seulement pour le château mais aussi pour éclairer sur une centaine de mètres la route conduisant au village.

Le pont Mandrou

En remontant vers les Étangs de Commelles, on trouve le pont Mandrou sur la Thève (fin du XVIIIe siècle), ainsi que le nouveau viaduc du chemin de fer bâti de 1980 à 1984 en remplacement de l’ancien viaduc qui avait été construit par l’ingénieur Pinel entre les années 1856 et 1859. L’ancien viaduc fut détruit le 12 décembre 1985.

Le Château de la Reine Blanche

Coye-la-Forêt - le Château de la Reine Blanche

Le Château de la Reine Blanche, ou Moulin de la loge de Viarmes

Le moulin de la loge de Viarmes

En prenant la route des étangs, nous arrivons à l’étang de la Loge de Viarmes et au moulin du même nom actuellement appelé Château de la Reine Blanche.

Source : Extrait du fascicule n°5 des dossiers de La Sylve Coye et ses moulins à eau par Jean Prieux

Aux abords de ces étangs, lieu de promenade privilégié puisqu’un sentier piétonnier ombragé en fait le tour (cinq kilomètres), s’élève le Château de la Reine Blanche, ancien relais de chasse.

Au bord de l’étang de la Loge (Étangs de Commelles) s’élève le château de la Reine Blanche, ancienne loge de bûcherons transformé en moulin à eau en 1765.

En 1826, le moulin est supprimé, la loge réparée, et on lui donne le cachet d’un château du Moyen-Age, avec portes et fenêtres ogivales, tours crénelées. Les trois chevaliers qui décorent la façade ont été ajoutés en 1846 par le duc d’Aumale, dernier fils de Louis Philippe et propriétaire du domaine de Chantilly dont il fit don à l’Institut de France à sa mort.

Coye-la-Forêt - le Château de la Reine Blanche

L’histoire des trois châteaux

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